Je citerais pour commencer une phrase emblématique que me rabâchait mon ami Hugo : "tout vient à point à qui sait attendre".
Dans un contexte comme celui-ci, elle fait complètement sens. L'attente est interminable. A tel point que je commence à me demander si j'arriverais un jour à quitter mon quotidien.
Avec du recul, j'observe trois phases dans notre """"préparation"""". Tels des néophytes en vue d'un projet d'une telle envergure, nous commençâmes à y penser sans vraiment agir. Un pied dans le plat, no more.
- Billet d'avion booké courant décembre,
Quelques mois durant, notre ""check-liste"" demeura sans mouvement.
- Second step : la prise de conscience. Celle-ci fut relativement brutale, en vue du travail restant à effectuer. Notre vision du projet se rapprochait désormais de l'ascension du Golgotha, il va sans dire.
- Au programme, une partie achat de matériel adéquat, une autre de rassemblement d'informations pratiques et de démarchage de potentiels partenaires, une dernière de préparation physique qui n'a finalement pas eu lieu.
Aujourd'hui, une grande partie du voyage reste encore floue, tant à travers le parcours que nous emprunterons que ce à quoi nous allons faire face. Mais une chose est on ne peut plus sûre, au plus profond de nous même, nous sommes plus que déterminés à attaquer cette aventure.
Décollage pour Lisbonne le 26 septembre, Germain suivra le 28.
Affaire à suivre.
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