La boucle du Huascaran terminée, mon aventure montagnarde se devait d'être mise de côté quelque temps pour descendre à la capitale. Mon vélo reste bien au chaud dans l'auberge (El Tambo, si vous allez à Huaraz un jour) pendant que j'avale les huit heures de bus pour passer de 4000 mètres au niveau 0 de la capitale. Le paysage passe d'abord par des semblants de steppes mongoliennes, puis des canyons profonds, avant les déserts sablonneux.
Qu'on soit bien clair, la route est magnifique, mais une fois arrivé sur la côte, tout n'est que désert et poussière et la capitale manque cruellement de charme. Il y fait chaud, le bruit, les poubelles et un clair manque de beauté se font ressentir. Je fais un jour de tournage près d'un mur de séparation entre un bidonville et le quartier le plus riche de la ville. Un symbole de ségrégation fort dans cette capitale marquée. A côté la plage et les quartiers de Miraflores et Baranco paraissent très européens.
C'est une pause salvatrice dans le voyage. Une semaine et demie dans un monastère de Soeurs françaises grâce à l'association Points-Coeur. A Guayabo, dans les seuls environs verdoyants de Lima, se niche un petit coin de paradis. Elles sont six à vivre dans ce petit village, à en connaître chaque habitants grâce à leur implication dans la vie locale, elles ont de l'humour, de la joie de vivre, inutile de vous dire qu'accueilli à bras-ouverts, je m'y suis senti très bien.
Un petit temps pour se ressourcer mais surtout pour participer à l'animation de trois petits camps de quatre jours avec les enfants du village ou de certains quartiers difficiles ou reculés de Lima. Ils sont souvent une vingtaine, mixtes ou non, dans des tranches de 8-12 ans, ou 14-16.
Des jeunes plus ou moins tranquilles, avec des histoires parfois dures, mais voilà, les rassembler ici, les faire jouer, vibrer, échanger, leur apprendre des choses fut d'une beauté qu'on fini bien trop rapidement par s'y attacher.
Au programme, des chasses au trésor, des olympiades, du foot, le partage des tâches, avant de dormir sous tente le soir. Quelques photos pour vous donner une idée.
Un grand merci aux Soeurs pour leur accueil et leur échange qui m'ont fait un bien fou.
Qu'on soit bien clair, la route est magnifique, mais une fois arrivé sur la côte, tout n'est que désert et poussière et la capitale manque cruellement de charme. Il y fait chaud, le bruit, les poubelles et un clair manque de beauté se font ressentir. Je fais un jour de tournage près d'un mur de séparation entre un bidonville et le quartier le plus riche de la ville. Un symbole de ségrégation fort dans cette capitale marquée. A côté la plage et les quartiers de Miraflores et Baranco paraissent très européens.
C'est une pause salvatrice dans le voyage. Une semaine et demie dans un monastère de Soeurs françaises grâce à l'association Points-Coeur. A Guayabo, dans les seuls environs verdoyants de Lima, se niche un petit coin de paradis. Elles sont six à vivre dans ce petit village, à en connaître chaque habitants grâce à leur implication dans la vie locale, elles ont de l'humour, de la joie de vivre, inutile de vous dire qu'accueilli à bras-ouverts, je m'y suis senti très bien.
Un petit temps pour se ressourcer mais surtout pour participer à l'animation de trois petits camps de quatre jours avec les enfants du village ou de certains quartiers difficiles ou reculés de Lima. Ils sont souvent une vingtaine, mixtes ou non, dans des tranches de 8-12 ans, ou 14-16.
Des jeunes plus ou moins tranquilles, avec des histoires parfois dures, mais voilà, les rassembler ici, les faire jouer, vibrer, échanger, leur apprendre des choses fut d'une beauté qu'on fini bien trop rapidement par s'y attacher.
Au programme, des chasses au trésor, des olympiades, du foot, le partage des tâches, avant de dormir sous tente le soir. Quelques photos pour vous donner une idée.
Un grand merci aux Soeurs pour leur accueil et leur échange qui m'ont fait un bien fou.
Commentaires
Enregistrer un commentaire