Bon on s'est quitté dans le parc national El Angel.
Ensuite nous sommes descendus au village éponyme et après une nuit à l'hôtel, avons décidé de retourner sur la route vers le sud, sachant que quelques villes intéressantes nous attendaient avant Quito.
Ce fut une journée difficile.
Elle commençait doucement par une descente folle à travers les montagnes, de 3000 mètres jusqu'à 1800, où, au fond de la vallée, la Panaméricaine serpentait. Je dis bien doucement, la suite est autrement différente.
On est pas très copain avec cette grande route qui sillonne les Amériques, plein de camions bruyants et de voitures rapides, elle est souvent sale et difficile. Là s'ajoutait la chaleur et... le vent.
A décorner des boeufs je vous dis ! Le creux de la vallée était battus par une centaine de kilomètres/ heures de bourrasques à nous faire dévier, freiner ou quand les virages nous ont porté dans la bonne direction : donné une vitesse agréable. Bref, la portion de route que l'on pensait faire en trois jours, nous étions en passe de la faire en un. Après une série de lacets fatigants, la ville que nous visions est enfin apparu. Nous pensions dormir au bord de son lac, rien de bien enchantant pour autant.
Au sommet des lacets terribles
Mais alors ! Au creux de l'effort, un 4x4 s'arrête près de nous, nous reconnaissons l'architecte qui nous a accueilli au refuge du parc deux nuits avant ! Il rentre chez lui à Quito et nous propose de monter. Je ne sais pas si c'est plus la fatigue ou l'opportunisme qui a parlé, mais les vélos chargés nous étions partis pour une agréable visite touristique du coin, en direction de la capitale. Incroyable.
Accueillis par sa maman, nous avons eu droit à tous les conforts que des voyageurs peuvent rêver. Un bonheur.
Session pliage de genoux
Nous sommes donc parti visiter Quito aujourd'hui. Une longue ville étendue entre les montagnes, surplombée de volcans et parcourue de dénivelés compliqués.
Son centre historique est remarquable, mais nous ne pouvons en dire plus sur son histoire, nous avons seulement vadrouillé tranquillement.
Quelques images donc :
Devinez ce qu'on fait à manger ce soir ? Les traditionnelles crêpes et une quiche. Bon appétit !
Ensuite nous sommes descendus au village éponyme et après une nuit à l'hôtel, avons décidé de retourner sur la route vers le sud, sachant que quelques villes intéressantes nous attendaient avant Quito.
Ce fut une journée difficile.
Elle commençait doucement par une descente folle à travers les montagnes, de 3000 mètres jusqu'à 1800, où, au fond de la vallée, la Panaméricaine serpentait. Je dis bien doucement, la suite est autrement différente.
On est pas très copain avec cette grande route qui sillonne les Amériques, plein de camions bruyants et de voitures rapides, elle est souvent sale et difficile. Là s'ajoutait la chaleur et... le vent.
Mais alors ! Au creux de l'effort, un 4x4 s'arrête près de nous, nous reconnaissons l'architecte qui nous a accueilli au refuge du parc deux nuits avant ! Il rentre chez lui à Quito et nous propose de monter. Je ne sais pas si c'est plus la fatigue ou l'opportunisme qui a parlé, mais les vélos chargés nous étions partis pour une agréable visite touristique du coin, en direction de la capitale. Incroyable.
Accueillis par sa maman, nous avons eu droit à tous les conforts que des voyageurs peuvent rêver. Un bonheur.
Nous sommes donc parti visiter Quito aujourd'hui. Une longue ville étendue entre les montagnes, surplombée de volcans et parcourue de dénivelés compliqués.
Son centre historique est remarquable, mais nous ne pouvons en dire plus sur son histoire, nous avons seulement vadrouillé tranquillement.
Quelques images donc :
merci. Nous pouvons ainsi vous suivre et même avoir quelques frayeurs
RépondreSupprimerpor vous. Mais cela se termine bien avec ces rencontres incroyables!